Les étranges ruines du sud: Mission A==> Shougai

Une fois sortit du village, Shougai couru sur la route du sud se dirigeant vers les ruines étranges. Chemin faisant, la pluie laissa place à une fie bruine, puis un soleil éclatant. Il avança sur un chemin tracé dans les plaines vastes et vit au loin, une caravane. Elle était tirée par des bœufs et au stop. Shougai s'approcha et ne vit rien de spécifique. Voulant gagné du temps et éviter de se fatigué inutilement, il décida "d'emprunter" la charrette et de se rendre dans ces ruines. Il prit la place conducteur et saisit les raines lorsqu'il entendit un bruit derrière lui. Un gémissement. Il se retourna et vit une superbe jeune fille, ligotée dans le fond de la charrette avec ses vêtements presqu'entièrement déchirés. Voulant faire preuve de bonté, Shougai s'approcha vers la jeune fille qui hurla aussitôt. Shougai la débaillona à peine qu'elle hurla à plein poumon. Shougai lui passa sa main sur la bouche.
-Ne criez pas comme ça. Vous me faites mal aux oreilles. Du calme, je vais rien vous faire.
Shougai délia la jeune fille et lui donna son long manteau pour la couvrir. Elle s'en habilla.
-Vous... Vous n'êtes pas un brigand?
-J'ai tant l'air d'un malfrat que ça?
-Excusez moi...Merci pour...le manteau.
La jeune fille était gênée et fuyais le regard.
-De rien. Pourquoi étiez...euh enfin...ligotée??
Shougai rougis fortement et détourna le visage pour ne pas le montrer.
-Des voleurs ont attaqué la charrette de mon père. Quand ils m'ont vue, ils ont...
Shougai compris à peu près ce qu'il c'était passé.
-Où est votre père.
-Ils l'ont enlevé après en avoir fini avec moi. Ils ont dit qu'ils allaient le revendre à la "Basse".
-Vous connaissez?
-Oui, c'est une ville à moins de 20 minutes d'ici et une braderie ouvre demain. Et dans les souterrains, il y a un marché noir qui s'y déroule.
-Bon, eh ben j'aime pas vraiment la vente d'êtres humains alors je vais vous aider. De plus ça à l'air d'être sur ma route.
Shougai se retourna, sortit de la charrette et s'asseya à coté de la jeune fille qui pris les raines.
-Vous êtes gentil. Peu de gens m'aurait aidée.
-Comment on peux refuser d'aider une si jolie fille?
La jeune fille rougit.
-Je m'appelle Yumi,Yumi Hinakoto
-Et moi, Shougai Jinkaku.
Ils arrivèrent en ville. Des centaines de commerçant étaient en train de dresser leurs étalages et poser leurs marchandise. Il y avait des armuriers, des forgerons, des animaleries, des jeux de foires et des boutiques de vêtements et tissus. Shougai abandonna Yumi, la laissant dresser son étalage et atteler les bœufs. arrivé dans une ruelle, un garde le bloqua.
-Halte! étranger. Déclinez votre identité.
-Aa... Tu utilise des mots bien complexes pour ton maigre cerveau.
-Ne te fout pas de moi.
Le garde brandit une hallebarde en face de Shougai.
-Hey... C'est que tu pourrait te créer des équimauses avec ça. Fait bien attention, ton jouet pourrait te valoir ta mort. si ta tête se sépare du reste, mon nom ne te saurait d'aucune utilité. Et puis pourquoi je pourrais pas traverser une simple ruelle?
-Cesse de te foutre de moi! Tu sais très bien que la "Basse" est protégée par un genjutsu.
-Ah bon?
-Zut!! Tu ne le savais pas??
-Je comptais sur ton incroyable potentiel cognitif pour me le dire. Et j'ai eu raison. Maintenant laisse moi passer bouffon où je te tue.
-Ton n....
Le garde ne pu finir sa phrase, puisque Shougai avait utilisé sa hallebarde et l'avait décapité. Le genjutsu se brisa et laissa voir une immense porte en fer qui s'ouvrit. Shougai entra et vit alors dans un endroit très sombre, des centaines de personnes grouillaient formant une fourmilière humaine. Sur les parois des murs, des étalages d'objets divers étaient alignés, avec les marchand hurlant les mérites de leurs marchandise. Il y avait des animalerie d'espèces disparues ou sous protection environnementale. Des armes à chakra, des objets divers, tous aussi sombres que les autres. Shougai s'approcha d'un étalage d'arme.
-Bonjour, valeureux clients! que puis je pour vous?
-Qu'est ce que vous avez pour moi?
-Je possèdes des lames "buvant" le chakra des jutsu, des arcs de feu de phœnix, des shurikens à genjutsu...
-Plus intéressant que ça!!
-...euuuh...Certes, j'ai ces parchemins d'armes. Vous le touchez en émettant du chakra et une arme apparait. Pour le moins que vous l'ayez placé dans le répertoire. Avec ce rouleau c'est facile. La notice d'utilisation....
-Combien?
-9623 ryôs.
-Je reviendrait s'il me reste encore de l'argent après ma visite.
Shougai quitta l'étalage et alla voir celui des objets en tout genre.
-Bonjour, que puis-je faire pour vous?
-Vous avez quelques chose d'utile en combat?
-Non désolé, j'ai seulement des objets de prophétie.
-Merci quand même.
Shougai alla alors vers un type, dressé sur un tabouret qui hurlait"Achetez mes esclaves, ils sont beaux et frais mes esclaves!". shougai se mit en face de lui et l'empoigna par la gorge.
-Espèce de pourriture. Vendre des humains, t'as pas honte?
-Lâche moi, pauvre con.
Shougai le lâcha et le frappa au visage. Le marchand s'envola et se prit dans les cages où se trouvait ses "marchandises". Toutes s'ouvrirent, mais personne n'en sortit. Plusieurs marchand sautèrent sur Shougai, qui les envoya dans les airs avec un coup de pied. Shougai sauta en l'air et créa 10 clones. Tout les onze foncèrent chacun de leur coté. Les marchands fuyèrent devant la puissance inébranlable de Shougai et ses clones. A la fin, Il ne restait personne à part les esclaves et certains étalages. Shougai libéra tout le monde et demanda
-Qui est le père de Yumi
Un vieil homme, maigre, mal nourri leva la main
-Je suis ici. Merci beaucoup jeune homme. J'aimerais tant vous remercier mais je n'ai pas de quoi vous remplir les mains.
-Ce n'est pas grave. J'ai tout ce qu'ils ont laissé.
Shougai s'avança alors vers les étalages et pris quelques mètres de tissu ignifugés, des armes de jet pour ses réserves, et les parchemins d'invocation d'armes. Il alla vers l'animalerie et caressa une bête, ressemblant à une autruche, avec un plus gros cou et un bec immense. De grands yeux scintillant et expressif, avec un plumage rouge et jaune avec quelques nuances de vert ça et là. Shougai monta sur son dos et la bête fonça au dehors à une vitesse incroyable. Shougai conduisit la bête vers la sortie et se dirigea vers sa destination première. Les ruines étranges...

Shougai traversa des plaines à une prodigieuse vitesse grâce à sa nouvelle monture. Il parcouru les abords d'un désert. Après quelques heures, la monture s'arrêta brusquement. Shougai la laissa et la bête emplumée resta là sans rien faire. Shougai continua son chemin et petit à petit, des vestiges du passé ressortir du sol. Il avança et sentit un courant d'air lui parcourir la nuque. Il continua et se retrouva face à une sorte de temple en roche noire. Il y rentra et d'un coup, même la lumière de l'extérieur n'arrivait à éclairer. Il prit son épée, et alluma le bout, lui servant ainsi de torche provisoire. Son épée déjà lourde, il voulait quand même trouver un bout de bois. Son vœux s'exauça lorsque son pied heurta quelques chose de léger et faisant un bruit de bois. Il le chercha à tâtons et prit un radius humain en main. Il le brisa en le serrant dans sa main. Il tomba en poussière malodorante et Shougai chercha un nouveau bout de bois. Il trouva une torche plus près de l'entrée et l'alluma avec son épée qu'il reposa sur son dos après avoir éteint la flamme. Il s'engouffra alors dans le temple noir. Il atteignit ainsi une immense salle délabrée que sa torche éclaira parfaitement. Il y avait de longues tables parallèles aux murs. Derrière une sorte d'estrade avec des siège plus haut et plus beau dominait la salle de son point de vue. Shougai traversa la salle silencieusement quand il entendit un râle sonore. Il se retourna mais ne vit rien. Il continua d'avancer prudemment vers le fond de la salle où une porte était placée grossièrement dans le mur. Il ouvrit la porte et un long très longs couloir se présenta à lui. Il le suivit encore et encore pour finalement aboutir à une étrange salle. Elle rayonnait de trois lumières différentes et dans ces lumières, des scintillements de vive couleurs. Shougai tenta de s'en approcher mais une ombre s'interposa. D'une voix rauque et vieille elle dit:
-Qui est tu pour pénétrer ce sanctuaire?
-Je me nomme Shougai.
-Shougai... Que vient tu faire dans ce sanctuaire?
-Euh... Je doit récupéré un coffre.
-Il y a trois coffre. Et pour chaque coffre, il y a une question. Une bonne réponse est un bien acquis. Une mauvaise réponse est un bien perdu. Cela peut aller jusqu'à tes bras et même pour certains les yeux.
-Euh... On ne m'avais pas prévenu que je devrait répondre au question de... Qui êtes vous au fait?
-Je suis Zanshi, le Nécromancien de ce village.
-Euh...c'est pas pour vous fâcher mais il n'y a plus de village depuis des siècles.
-Je le sais. Mais l'esprit des villageois est toujours présent. Bien commençons veux tu?
-Je vous écoutes.
-La première est en relation avec l'objet même. Cette chose toute choses dévore:oiseaux ,bêtes,arbres, fleurs; Elle ronge le fer, mord l'acier; Réduit les dures pierres en poudre; Met à mort les Rois, détruit les villes Et rabat les hautes montagnesQu'est cette chose.
Shougai était perturbé, jamais il n'avait entendu de pareille question.
-Euh...Vous me posez une de ses colles...
-Parlez pour répondre seulement....
Shougai réfléchit encore et encore. Pourquoi perdait-il son temps avec un vieux débris à moitié fou dont il n'avait pas vu passer...
-Le temps!!!
-...Vous avez trouvé. Le coffre en argent est à vous.
Shougai voulu s'avancer, mais Zanshi le bloqua.
-Encore deux questions.
-Je vous écoutes...
-Je suis seulement atteinte des Dieux et prisée par les hommes. Je constitue la vie et la mort. Je suis plus longue que n'importe quel mot.
*-Cella là mon sensei me la déjà donnée.*L'éternité!
-Bonne réponse. Enfin pour la 3ème...
On ne peut la voir, on ne peux la sentir, On ne peut l'entendre, on ne peut la respirer. Elle s'étend derrière les étoiles et sous les collines,Elle rempli les trou vides. Elle viens d'abord et suit après. Elle termine la vie, tue le rire.
Sur cette dernière, Shougai hésita. Il réfléchit et pensa aux étoiles et les trou vide. Il pataugeait dans ses pensées.
-La mort?
-Mauvaise réponse...
Zanshi s'avança vers lui. Il avait les bras tendus, ses nombreux bijou luisant à la lumière de la torche. Shougai saisit son épée.
-Tu a donné la mauvaise réponse, tu doit me laisser quelques chose...
-Jamais!
Shougai donna un coup d'épée dans le vide. Zanshi n'était plus là. Soudai, des mains décharnées et froide saisirent son bras. Elles le serrait et tiraient vers le bas. Shougai fit un saut périlleux arrière pour se retrouver au dos de Zanshi, mais ce dernier n'était déjà plus là, les mains avaient disparues.
-Tu ne me toucheras pas, huhuhu...
Shougai couru vers les lueurs et vit trois coffres, Il tenta d'en attraper un mais Zanshi arriva devant lui.
-D'abord trois réponse...
-Je n'en veux qu'un seul!!
-Et moi mon dû.
Shougai tenta de le frapper mais une main saisit son bras avant. 3 autres attrapèrent son bras.
-Lâche moi!
Il tenta de faire des signes mais e parvint pas à terminer la série. Il se dégagea du mieux qu'il pu, et lança une boule feu. Zanshi se la prit en pleine face et disparu en un nuage de poussière. Shougai fit un clone qui disparu juste après. Au palais de Soichiro, le clone apparu grâce au parchemin. Il ne vit pas Soichiro et couru dans tout le palais pour le trouver. Il entra dans la chambre, vide. Dans la salle de bain, vide. Il alla alors dans les cuisines.
-Eh Soichiro, vous êtes là?
-Soichiro sama est parti faire un tour dans le village.
-Merci!
Le clone couru à travers la pièce, pour passer dans la ruelle du vide ordure, et couru en tout sens dans le village, pour finalement trouver Soichiro.
-Soichiro san!!
-Ah t'es déjà de retour?
-Nan, je suis un clone. Il y a plusieurs coffres. Celui auquel je suis en face est longs et plat, orné de pierre de feu. Est ce que c'est celui là?
-Non, celui que j'ai besoin est noir avec des inscription dessus. Il est plutôt petit.
-Merci
Le clone s'annula et dans les ruines, Shougai appris la nouvelle. Il pris le coffre qu'il dissimula dans un parchemin. Il alla vers un autre. C'était le bon. Plus loin, un troisième en argent, ornés de diamant, avec une serrure en or reposait sur un piédestal. Il prit le coffret noir sous son bras et alla prendre l'autre en argent et le cacha également dans un parchemin. Maintenant qu'il avait ce qu'il devait avoir, il devait rentré au village. Il rebroussa donc chemin et refit le long couloir. Il entra dans la grande salle. La, il vit avec horreur des centaines de cadavres, de squelettes et des zombies grouiller su le sol, rampant. Shougai ne savais pas comment il allait sortir vivant de ces ruines. Il cracha donc du feu, qui fit fuir la plupart des morts. seul les squelettes restaient devant son chemin. D'un simple coup d'épée, il les élimina. Il sortit du temple en ruine et avec stupeur, ce dernier s'écroula après sa sortie. Il laissa poussière et aucun morceau de brique. Rien. Shougai avait ce qu'il fallait. Il regarda quand même s'il avait toujours son coffre. Visiblement oui. Les deux autres était aussi présents. Shougai sortit donc des ruines avec une horrible expérience à raconter à ses petits enfants. Shougai reprit donc la route. En sortant des ruines, il vit toujours l'animal qu'il avait prit comme monture. Il s'en approcha et tendit la main. Lorsqu'il le toucha, l'oiseau hurla d'un son strident, à péter les tympans. Shougai retira immédiatement sa main et fit chemin à pieds. Seulement, l'oiseau géant continuait de le suive sans se laisser approcher. Shougai reparcouru donc les vastes plaines. La nuit était presque tombée. La lune se montrait déjà et le ciel était foncé, mais toujours dans les tons rouge sang. Il fit un détour par l'ouest et repéra un village. Il état pas très grand, mais d'immenses bâtiments le surplombait. Shougai décida d'y passer la nuit et entra dans le village, laissant son oiseau dehors. Il se dirigea dans le centre du village et demanda son chemin.
-Sil vous plait madame.
-Oui?
Une petite femme minuscule et tout potelée avec des énormes joues rose le regardait avec un grand faux sourire. Ce sourire lui donnait l'air d'un éléphant.
-Vous pourriez m'indiquer un endroit où passer la nuit s'il vous plait?
-Certainement. Il y a une auberge derrière le grand bâtiment là. Il n'est pas cher pour la nuit et est très accueillant.
Elle faisait des immense signes de bras pour passer à travers ses"rondeurs".
-Merci madame.
Shougai alla donc derrière le gros bâtiment et vit une minuscule bâtisse, avec un panneau"Au rat d'égout lubrique".
*Effectivement, c'est accueillant*
Shougai entra. Il y avait pas grand monde. Il alla au comptoir et demanda une chambre pour la nuit. Il paya et monta dans sa chambre. Il passa une nuit reposante. Le matin, il fut réveillé par sa monture qui hurlait à la lueur du jour. Il remarqua que son sac avait également disparu ainsi que le coffre. Il sortit et vit un type encapuchonné frapper la monture en hurlant "Tais toi, saloperie". Shougai accourra et s'approcha du type.
-Eh qu'est ce que tu lui veut à mon oiseau?
Le type encapuchonné dégaina l'épée de Shougai et le menaça.
-C'est toi qui m'as fait les poches?
-Et c'est aussi moi qui t'ai montré l'auberge.
-Oh un ninja qui joue sur les "henge". Va pourrir en enfer...
-C'est toi qui ira.
Le type tenta de la frapper avec l'épée et rata son coup, il frappa une bûche. Shougai était derrière lui, et avait déposer un kunai sur sa gorge. Il lui trancha la gorge sans merci et repris ses affaire. Le cadavre ensanglanté resta la, inerte et se faisait picoré par l'immense oiseau. Shougai reprit ses affaire et repris a route. Il repassa près du village où il y avait la braderie. Il reparcourut les plaines et se fit doucher par la pluie venant de Ame, toujours accompagné de son oiseau qui avait l'air de l'apprécier. Il entra au village et rentra au palais de Soichiro.
-Soichiro san? J'ai ramener le coffre.